Noël au charbon, Pâques au violon

Jacques Lavergne, avocat, lecteur assidu et cofondateur de la maison d’édition Au Diable Vauvert, a signé son premier polar avec Peinture au pistolet à Céret, suivi de Barcelone, aller simple.

Les intrigues se déroulent dans la Catalogne de ses racines, où il revient régulièrement travailler et se ressourcer.

Noël au charbon, Pâques au violon
(Mare Nostrum)

Pour son troisième polar qui met une fois encore en scène la conservateur du musée de Céret, Jacques Lavergne aborde le thème des pillages en bonne et due forme qui ont lieu, depuis quelques années, un peu partout sur l’ensemble du territoire français.
Ceux-ci sont souvent le fait de mafias russophones, extrêmement bien organisées.

Pierre Pagès s’apprêtait à passer de paisibles fêtes de fin d’année à Banyuls, en compagnie de son amie Vivica, mezzo-soprano barcelonaise.
Mais lorsque son vieux complice, le curé Nafaou Missabaou, lui demande de le rejoindre dans sa nouvelle paroisse de Montalba le Château, il va en être tout autrement…
D’autant que l’enlèvement du prêtre durant la messe de minuit, au nez et à la barbe de ses ouailles, ne va pas arranger les choses.
Efficacement aidé par la Section de Recherches de la gendarmerie nationale, Pierre Pagès va donc devoir se lancer sur les traces des ravisseurs dans cet arrière-pays catalan que l’hiver, la neige et le vent n’épargnent pas.
Une quête qui passera par la lointaine Tbilissi, capitale de la Géorgie, plaque tournante de tous les trafics…

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