Rouges, les collines de Caracas

Maxime Vivas est un écrivain essayiste et cyber journaliste.
D’origine espagnole, né en Aveyron, il débute sa vie professionnelle comme postier au centre de tri de Paris Brune.
Ce sera d’ailleurs le titre de son premier roman paru en 1997 qui lui vaut le prix Roger Vailland et le surnom d’ « écrivain des PTT ».
Son horizon est bien plus vaste et son parcours, celui d’un homme épris de justice sociale et de liberté.
Parfait connaisseur l’Amérique latine et de ses révolutions et plus rare du Tibet.
Fin débatteur à l’esprit et la plume acerbes, il est aussi un démystificateur et empêcheur de tourner en rond.
C’est ainsi qu’en 2007, il s’est intéressé à « la face cachée de Reporters sans Frontière » et au personnage de Robert Ménard.
La suite de l’histoire lui donnera raison.
Maxime Vivas a publié ou participé à plus de quarante essais ou recueils de nouvelles.
Installé à Toulouse depuis vingt ans, il y est aussi connu comme administrateur du site d’informations alternatif « Le grand soir info » et animateur d’une chronique culturelle sur Radio Mon Païs.

Rouges, les collines de Caracas
(Arcanes 17)

Un récit réalité où l’héroïne « Gaya » est le fil conducteur pour entrer dans un univers fait de manipulations, agressions, rapts, assassinats, actes d’héroïsme, enfumages médiatiques, complots, coups d’État, attentats, émeutes, ombres de la CIA et de Pinochet, mercenaires, poésie, trahison, amitiés, amour, amour filial…
Et viva Hugo Chávez !

Comme toujours chez Maxime Vivas, son polar est à mi chemin entre fiction et réalité.
La plupart des personnages comme des situations ont un parfum de déjà vu.
Ajoutons à cela la rapidité du récit, l’humour et un beau personnage de femme et on a tout pour faire de ce livre une ode à la résistance et à la rébellion. (Arcanes 17)

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