Pas plus tard que l’aurore

Agrégé d’histoire et géographie, sa carrière professionnelle d’enseignant le mène successivement au lycée d’Aiguillon en Lot et Garonne, puis à ceux de Dunkerque et de Guéret en Creuse où il anime une section BTS tourisme.
En 1991, Georges-Patrick Gleize choisit de rentrer en Ariège et il enseigne depuis comme professeur au Lycée du Castella de Pamiers.
Sans délaisser sa passion du  monde  rural  où  baignent  les  racines de son enfance, il s’intéresse alors aux relations internationales et à la géopolitique du monde contemporain en suivant  l’enseignement de l’Institut des Hautes Études de la Défense Nationale.

Pas plus tard que l’aurore (Calmann-Lévy)

En mars 1916, dans les tranchées de Verdun, un soldat français amnésique est capturé par les Allemands.
Baptisé du nom de Charles Marre, le prisonnier, à l’accent méridional, est transféré en France à la faveur d’un échange de grands blessés.
À l’hôpital de Toulouse, Charles s’éprend de Rose de Saint-Orens, une jeune femme de la haute société, engagée comme infirmière volontaire.
En 1919, la paix revenue, dans son village de l’Ariège, Jeanne Pujol, institutrice et femme d’instituteur, ne peut croire à la mort de son mari, disparu sur le front.
Mais après avoir rencontré le capitaine qui commandait le secteur, elle doit se rendre à l’évidence : il est impossible qu’il ait survécu.
Vingt-quatre ans plus tard, en juin 1940, dans une France qui plonge dans les heures noires de la défaite, Charles est victime d’un accident de voiture.
Il retrouve la mémoire perdue…
N’était-il pas jadis instituteur en Ariège ?

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