Trois heures avant l’aube 

En 2008, Gilles Vincent publie un polar intitulé Djebel dont les droits audiovisuels ont été achetés par Isabelle Adjani qui envisage d’en réaliser l’adaptation cinématographique.
L’année suivante, il publie la suite de Djebel, intitulée Sad Sunday, qui a obtenu le Prix Marseillais du Polar 2010.
Fin 2010, paraît Peine maximum, le troisième volet de ce qui est amené à être une tétralogie.
Gilles Vincent est également l’auteur d’un recueil de nouvelles, Les essuie-glaces fatigués rendent les routes incertaines, publié en janvier 2011.

Trois heures avant l’aube (Jigal)

Kamel, vingt et un ans, armé pour la guerre sainte, s’apprête à verser le sang de l’ennemi.
Bientôt un jeune militaire est sauvagement assassiné dans les toilettes de la gare Saint-Charles à Marseille.
Sabrina, trente-cinq ans de déprime et d’obsessions, claque la porte de son HLM de Valenciennes.
Un peu plus tard, la complice du pédophile Jean-Marc Ducroix est égorgée en Belgique, aux portes d’un couvent.
Grégor, trente ans d’usine, vient de se faire licencier sans autre formalité.
Quelques jours après, à Pleucadeuc, le patron de l’entreprise est victime d’un enlèvement crapuleux…
Entre peur, folie, rage et désespoir…
Trois faits divers, trois parcours cabossés, trois vies brisées.
Touchée de plein fouet, la commissaire Aïcha Sadia va, dans cette nouvelle enquête, basculer sous nos yeux, de la force à l’anéantissement.

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