Le Vent de la jeunesse

Originaire d’une vieille famille ariégeoise, Georges-Patrick Gleize est professeur d’histoire, spécialiste des sociétés rurales du sud de la France.
Après des publications professionnelles sur le tourisme vert et une biographie sur Charles De Gaulle, il se tourne vers la littérature et publie un premier roman, « Le Temps en héritage ».
En s’appuyant sur sa connaissance des sociétés rurales, il publie des romans d’histoire en prenant pour cadre les Pyrénées : « Le Chemin de Peyreblanque », « La Vie en plus ».
Après un triptyque consacré à la mémoire des hommes, il commence en 2006 une nouvelle thématique consacrée aux luttes d’espérance avec « Le Forgeron de la liberté », « Un brin d’espérance », « Le sentier des Pastelliers », sur la réintroduction du pastel, cette plante magique dont l’or couvrait jadis les collines du Lauragais assurant la prospérité du « Pays de Cocagne ».
En 2009, il débute avec « Le destin de Marthe Rivière », un roman du grand sud plein de couleurs et de passions, une autre thématique, celle des vies marquées par le souffle de l’histoire qui bouleverse les destins tracés.
Fidèle à cette thématique, en 2010, Georges-Patrick Gleize fait paraitre « L’Auberge des Myrtilles », une œuvre qui plonge les lecteurs à l’époque de l’occupation, au cœur des mystères de la Résistance.
Tout en continuant d’exercer son métier d’enseignant, à se passionner pour la géopolitique, Georges-Patrick Gleize consacre l’essentiel de son temps libre à sa passion de l’écriture.

Le Vent de la jeunesse
(Calmann-Lévy)

Flore, jeune journaliste, croise le regard insistant d’un inconnu à Paris dans le métro.
Incident banal qu’elle aurait aussitôt oublié si le jeune homme ne lui rappelait étrangement quelqu’un.
Quelques jours plus tard, chez sa mère en Corrèze, Flore découvre la photo d’un homme ressemblant trait pour trait à l’inconnu de Paris.
Ce pourrait être la même personne si la photo ne datait de 1939.
Qui est l’homme de la photo ?
Se heurtant au silence obstiné de sa mère, Flore part sur les traces de la seule personne susceptible de l’éclairer : sa grand-mère, qu’elle n’a jamais connue.
Avec pour seul indice son prénom, Anna, elle parvient à reconstituer peu à peu le destin de cette émigrée italienne venue travailler avec ses parents dans les Pyrénées ariégeoises.
Mais l’histoire d’Anna se brouille pendant la période troublée de l’Occupation…
En voulant connaître le secret de ses origines, Flore va briser un terrible tabou…

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