Voyage au bout de la Mer Océane

Henri Rech :

Si je n’avais pas été médecin, j’aurais aimé être écrivain.
J’essaie aujourd’hui de poursuivre mon rêve.
J’ai exercé le métier de médecin dans les hôpitaux, dans des services de médecine, d’urgence et de réanimation, puis comme biologiste et directeur d’établissements de transfusion sanguine.
J’aime les voyages qui m’ont amené dans bien des pays.
Dans certains, j’ai effectué des missions de coopération : en Irak et en Syrie.
J’ai travaillé en Martinique.
J’anime une association humanitaire pour l’aide à l’éducation et à la santé au Kenya depuis 2009.
Je suis actuellement retraité, mais une de mes dernières missions nationales dans le domaine de la santé concernait l’identification des patients et des donneurs de sang.
Cette expérience avait inspiré un premier manuscrit (roman partiellement autobiographique) sur le thème de l’usurpation d’identité (non encore publié).

Voyage au bout de la Mer Océane
(L’Harmattan)

Si le lecteur aime les histoires romanesques à rebondissements et les voyages, qu’il se plonge vite dans les aventures d’Aymeric de Fleury, jeune médecin français, embarqué comme chirurgien en l’année 1686 sur un galion espagnol de la flotte des Indes occidentales.
Il y découvrira la vie à bord et ses vicissitudes, les rapports aimables ou conflictuels entre les personnages ou encore les paysages du nouveau monde à la fin du XVIIe siècle.
Il suivra le héros dans sa quête d’une plante aux vertus anesthésiques dans les montagnes andines, puis voguera dans la mer des Caraïbes qui, à l’époque, était le territoire de tous les dangers…

Partagez !

Les commentaires sont fermés.