L’assassinat du mort

Après un courte carrière à la Sécurité sociale puis une autre comme vendeur d’appareils photos, Jean-Louis Marteil a tout abandonné pour se lancer dans l’écriture.
De sa passion pour l’histoire médiévale va naître une série de romans historiques se déroulant entre l’ombre et la lumière des XIIe et XIIIe siècle.

Son premier opus, Soleil Noir, est aujourd’hui épuisé.
Suivront ensuite La Relique,  la trilogie Et Dieu reconnaîtra les siens, La main de Dieu et La chair de la salamandre.

L’assassinat du mort (La Louve)

Ainsi commence L’assassinat du mort, où l’on retrouve la plupart des personnages de La chair de la Salamandre (ceux qui ont survécu à la précédente hécatombe) et où l’on découvre quelques petits nouveaux tout aussi gratinés.
Où la jolie Breda n’a que son intelligence et son courage pour tenter de résoudre une série de crimes aux motivations pour le moins floues.
Où le capitaine Mord-boeuf et le sergent Pasturat ne se privent pas d’accumuler maladresses et répliques plus stupides et délirantes les unes que les autres.
Où l’évêque Guillaume de Cardaillac est encore une fois totalement dépassé par les événements.
Où le narrateur, enfin, s’amuse toujours plus avec mots et personnages, saupoudrant son récit d’un humour noir parfaitement déjanté…
Tout en respectant l’Histoire, avec son grand H.

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