Une ritournelle ne fait pas le printemps

Un Vendredi Saint à Perpignan.
Comme chaque année depuis cinq siècles, la procession de la Sanch se met en marche.
Sept cents pénitents défilent dissimulés sous leur traditionnelle caparutxe – longue robe de bure et cagoule.
Soudain, quelques pétards brisent le silence et la panique gagne la procession.
Quand le calme revient, un pénitent ensanglanté reste étendu à terre, poignardé.
Au même moment un violent hold-up se produit, non loin de là, dans une bijouterie…
L’enquête conduit très vite le lieutenant Sebag des ruelles encombrées du quartier gitan de Saint-Jacques aux appartements feutrés de la bonne société catholique catalane.
Mais y a-t-il un lien entre ces affaires alors que plane ici, l’ombre aussi poétique qu’ambiguë du Fou chantant, qui, ado, arpentait déjà ces mêmes ruelles…

Gilles Sebag, flic à Perpignan et pilier des précédents romans de Philippe Georget, reprend du service dans cette nouvelle enquête où il croisera le fantôme de Charles Trénet…

(éditions Jigal Polar)

Philippe Georget

Page de l’auteur

Prix de L’Embouchure 2013, Prix Méditerranée Roussillon 2016, Prix Virtuel du Polar 2015, Prix EuroPolar 2017, Prix SNCF du Polar 2011, Prix du Premier Roman Policier 2011, Prix des Vendanges Littéraires 2011…
Traduit en Italie, en Allemagne, en Angleterre et aux Etats-Unis…

En quelques romans, Philippe Georget a su convaincre lecteurs, critiques et prix littéraires, tous unanimes !
Le magazine Marianne parle de lui comme d’un styliste, d’autres commentent ses personnages et leur humanité, sa maîtrise de l’écriture, ses intrigues au cordeau, ou sa plume, mélange subtil de causticité, d’humour et d’émotions…

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