Vélociférations, je me souviens du Tour

Christian Laborde est né dans les Hautes-Pyrénées à quelques kilomètres du col du Tourmalet.
En 1985, il reçoit le Grand Prix de Littérature Musicale de l’Académie Charles Cros pour L’homme aux semelles de swing, biographie imaginaire de son ami Claude Nougaro.
L’Os de Dionysos qu’il publie en 1987 va défrayer la chronique.
Hymne à la beauté de Laure d’Astarac, satire virulente et burlesque de l’Éducation Nationale, ce roman est immédiatement censuré.
Une réédition sacrera Christian Laborde comme l’héritier du surréalisme.
Il publie en 2010 Le Soleil m’a oublié, la chronique d’un amour unique et ravageur, l’idylle entre un jeune boxeur et la maîtresse d’un caïd de banlieue.

Vélociférations, je me souviens du Tour : Robert Laffont (adulte)

Le 19 juillet 2010, Christian Laborde montait sur la scène du théâtre Saint-Louis, à Pau, et jouait, dans une mise en scène de Phéraille et sur une musique du jazzman Francis Lassus, Vélociférations, Je me souviens du Tour.
Laborde joue et l’enfance revient avec sa casquette, son dossard et tous ses maillots.
Laborde joue et les souvenirs se réveillent : une table de camping dans l’Aubisque, les lacets du Tourmalet, Duboc, Christophe, Gaul, Robic, Poulidor, Anquetil, Ocana, Merckx, Armstrong.

Ce livre-CD audio donne à voir et à entendre les douze Vélociférations de l’auteur de L’os de Dionysos et du Dictionnaire amoureux du Tour de France, avec des photographies de Fernand Fourcade prises lors des représentations, et des illustrations de Phéraille.

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