L’écrivain et le tueur

Charles Corvec, condamné à perpétuité pour neuf homicides, sollicite un modeste auteur régional, René Salan, pour qu’il rédige un livre démontrant son innocence.

Pour René Salan, écrire sur un criminel aussi sulfureux permet d’envisager le carton éditorial…
Aux dépens de la mémoire des victimes ?
Sur Internet, les documents accusant Corvec foisonnent.
Les écrits du prisonnier, eux, clament son innocence…
L’auteur interroge sa conscience : quel est son rapport à la mort ?
À l’ambition ?
Au chagrin ?
René Salan commence à écrire… à reculons.

Son épouse tente de le dissuader.
Les proches des victimes le menacent.
Mais le chemin de René Salan, balisé par un hasard vénéneux, le conduit inexorablement vers Charles Corvec… et peut-être pire encore.

Dans ce roman à la première personne,
Daniel Hernandez fait une pause dans sa saga de polars
pour s’immerger dans les démons de l’écriture.
Inspirée de faits réels, cette fiction est habitée d’une tension puissante et obscure qui ne faiblit jamais.

Daniel Hernandez

site de l’auteur

 

Issu d’une famille d’émigrés espagnols, Daniel Hernandez vit jusqu’à 18 ans dans le milieu rural et viticole du Languedoc-Roussillon et effectue ses études secondaires à Narbonne.

En 1971, après des études supérieures à Perpignan, Daniel s’installe en Cerdagne où il travaille jusqu’en 2012 au Four Solaire d’Odeillo et obtient en 2005 la distinction scientifique du Cristal en tant qu’ingénieur de recherche du CNRS.

Après une première approche de l’écriture, il publie en rafale 12 polars à partir de 2006 qui mettent en scène deux héros récurrents au caractère méditerranéen : le commissaire catalan Jepe Llense et son comparse José Trapero.

Cette série représente une véritable saga qui a pour cadre le Languedoc-Roussillon, son histoire, sa vie sociale et ses paysages.

 

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