L’Homme qui rêvait d’ailleurs

Natif du Sud-Ouest (Gourdon-Lot), Jef Bouygues a 24 ans lorsqu’il quitte son pays du Quercy en 1989 pour « monter à Paris ».
Durant trois ans il suit des cours d’Art dramatique à l’École Florent, qui au-delà de l’Art de la Comédie, lui apporte l’inspiration finale qui manquait à l’accomplissement de son écriture.
De se son travail de comédien et de quelques rencontres déterminantes (son professeur, F. Witta, ses camarades de cours) vont germer de nombreuses idées de scénariis.
Par la suite, il participe à la création d’une troupe de théâtre, la Compagnie de l’Amarante, et écrit et joue au sein de cette troupe « Personne ne bouge, Police! » au Petit Théâtre de Clichy en 1992.
En mai 2009, lauréat du Grand Prix Femme Actuelle du roman de l’été 2009, Les Éditions Les Nouveaux Auteurs publie son premier roman « Au bord des cendres ».

L’Homme qui rêvait d’ailleurs

Endo, 27 ans, s’ingénie à vouloir réaliser ses rêves les plus fous : devenir acteur et rencontrer ses idoles Brando ou Pacino.
Il rêve de faire sienne la devise de Scarface, son film culte : « The world is yours ».

En attendant cette hypothétique gloire, il est barman au Gin Fizz, dans le centre d’Alès.
Un jour, des découvertes ahurissantes vont le précipiter dans un tourbillon infernal.
Entre rêve et réalité, Endo se trouve embarqué dans une affaire d’espionnage où secrets, trahisons, filatures, course-poursuite et explosions, répondent aux déclamations théâtrales, tirades et monologues, avec en toile de fond la quête unique d’un impossible rêve.

 

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