Le dernier défenseur de Montségur

Né à Albi, Bernard Mahoux a fait des études de droit et d’histoire avant d’entrer au ministère de l’Environnement, puis au Parc naturel régional du Haut-Languedoc et enfin au ministère de la Culture, à Toulouse, ou il a travaillé à la protection des monuments historiques et des sites remarquables de la Haute-Garonne.
Après des monographies et un roman, il rencontre un très vif succès avec La Malédiction des Trencavel, fresque historique et romanesque, qui retrace en deux volets les destins de Roger Trencavel (quatre tomes) et de son fils Raimon-Roger (trois tomes).
Autour de la figure de chevalier de Raimon-Roger, La Danse du Cathare, Quand la Louve s’éveillera et L’Immolation relatent l’éternel affrontement du fanatisme et de la tolérance au temps de l’Église cathare.

Le dernier défenseur de Montségur

Fils du châtelain de Salles-sur-Cérou près de Cordes, cadet sans fortune pris dans la sale guerre déclenchée par la croisade contre les albigeois qui oppose l’Église de Rome à l’Église cathare, le jeune Imbert n’a d’autre choix que d’exercer le métier de moine ou celui de soldat.
Il est de toutes les rebellions et, une fois la paix signée par le comte de Toulouse, il s’emploie à escorter les bannis, Bons Hommes, Bonnes Dames, faidits et tous ceux qui fuient la terrible Inquisition.
Il se trouve à Montségur quand le sénéchal de Carcassonne, bien décidé à en finir avec les hérétiques, vient assiéger la cité Sainte. 
Là, il tombe éperdument amoureux de Bernarda, l’une des filles du seigneur de Lavelanet, réfugiée elle aussi sur le pog, et veut l’épouser.
Hélas, le père de la jeune fille, hérétique jusqu’à l’os, ne veut rien entendre de tel.
Il a le projet d’en faire une Parfaite…
Mais Imbert n’est pas homme à renoncer.
On ne renonce pas quand on est amoureux d’un ange !
L’histoire d’Imbert, tour à tour moine, soldat, et qui se montrera rusé pour échapper à l’Inquisition, nous entraîne dans un tourbillon d’aventures palpitantes.

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