Il faut bien que le diable se pose quelque part

Il faut bien que le diable se pose quelque part : l’Harmattan (adulte, roman)

Pour que les plus démunis aient accès à la culture et pour passer une maîtrise d’histoire de l’art, Dominique Josse a interrompu un moment sa profession d’avocate. Après la Marâtre, elle fait paraître aujourd’hui un second roman qui a pour cadre un village des Pyrénées où s’installent le jeune Moussa, sa mère, son père, un village de nulle part. L’intégration y semble facile : à l’âge de Moussa, il s’agit d’amitié, de complicité et d’engagement dans les jeux partagés. Mais les murs sereins recèlent des secrets, des tumultes prêts à s’épanouir. Sous la prudence et le respect, veillent le préjugé, la rancœur.

Partagez !

Les commentaires sont fermés.