Quelques pas dans la neige

En février 1969, Annie Bergés, serveuse dans un café d’une haute vallée des Pyrénées ariégeoises, disparaît mystérieusement un soir de neige.
Les gendarmes soupçonnent Antoine Champot, un médecin récemment installé au pays.
Il est le dernier à l’avoir vue.
Quelques semaines plus tard, des pêcheurs retrouvent la jeune femme errant dans la montagne.
Hospitalisée en psychiatrie à l’asile de Saint-Lizier, prostrée, amnésique, elle est incapable de livrer la moindre indication sur ce qui lui est arrivé.
Pour dissiper les soupçons qui pèsent sur lui, Champot décide de mener l’enquête.
Ses investigations le conduisent à s’intéresser aux fréquentations masculines de la serveuse qui semblait multiplier les aventures.
Sans rester lui-même insensible au charme de la jeune femme et au risque de s’attirer de sérieux ennuis, il devra contrarier l’existence de quelques hommes trop tranquilles et de certaines notabilités…
 
En écrivain passionné par les brûlures de l’histoire, Georges- Patrick Gleize signe un suspense palpitant au cœur des noirs secrets d’une France des années soixante encore hantée par les fantômes du passé.
(Calmann-Lévy)

Georges-Patrick Gleize

Originaire d’une vieille famille ariégeoise, Georges-Patrick Gleize est professeur agrégé d’histoire, spécialiste des sociétés rurales du sud de la France.
Après des publications professionnelles sur le tourisme vert et une biographie sur Charles De Gaulle, il se tourne vers la littérature et publie un premier roman, Le Temps en héritage.
En s’appuyant sur sa connaissance des sociétés rurales, il publie des romans d’histoire en prenant pour cadre les Pyrénées: Le Chemin de Peyreblanque, La Vie en plus.
Après un triptyque consacré à la mémoire des hommes, il commence en 2006 une nouvelle thématique consacrée aux luttes d’espérance avec Le Forgeron de la liberté, Un brin d’espérance, Le sentier des Pastelliers, sur la réintroduction du pastel, cette plante magique dont l’or couvrait jadis les collines du Lauragais assurant la prospérité du «Pays de Cocagne».
En 2009, il débute avec Le destin de Marthe Rivière, un roman du grand sud plein de couleurs et de passions, une autre thématique, celle des vies marquées par le souffle de l’histoire qui bouleverse les destins tracés.
Fidèle à cette thématique, en 2010, Georges-Patrick Gleize fait paraître L’Auberge des Myrtilles, une œuvre qui plonge les lecteurs à l’époque de l’occupation, au cœur des mystères de la Résistance.
Tout en continuant d’exercer son métier d’enseignant, à se passionner pour la géopolitique, Georges-Patrick Gleize consacre l’essentiel de son temps libre à sa passion de l’écriture.
Il est membre de l’Académie des Arts, sciences et lettres de Languedoc.

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