Au fond du couloir à droite

Tout avait commencé, jeudi, dans ce bois…
Directeur financier d’une multinationale, Philippe se rend dans un château où doit avoir lieu un Comité exécutif (sur fond de conflits internes : deux collègues veulent sa peau).
Il roule vite, se trompe de route, s’énerve…
On le sent proche du burn-out.
Au lieu de faire demi-tour, il s’obstine, s’enfonce dans un bois et se perd.
Par chance, il rencontre une jeune fille.
Elle habite la ferme proche du château.
Il la raccompagne chez elle et se gare dans la cour, le temps de prendre un café.
Les péripéties qui vont suivre et quelques événements insolites et troublants vont alors ébranler ses certitudes.

Des morceaux entiers de ma vie avaient roulé sur le tapis comme les perles d’un collier.

Philippe comprend qu’il lui faut changer.
Donner un tout autre sens à sa vie…
Ramasser les perles et les renfiler.
Oui, mais dans quel ordre ?
C’est seulement en rentrant chez lui, le dimanche, qu’il aura la réponse.

(éditions Feuilles)

Jean-François Mézil

Page de l’auteur

Avoir écrit son premier poème à huit ans prédisposait Jean-François Mézil à des études littéraires.
Mais comme un bonheur n’arrive jamais seul, il eut le malheur d’être doué pour les maths et se retrouva ingénieur.
L’écriture pour autant ne le lâcha pas.
Il continua de s’y adonner.
Troquant la cravate pour une guitare, il passait, le soir, dans les cabarets.
Mais cela ne suffisait pas.
En 2001, il arrête son métier de consultant informatique et se consacre entièrement à l’écriture.
S’en suivent quelques pièces (saluées par Laurent Terzieff et lues au Théâtre du Nord-Ouest) et plusieurs romans dont trois ont été publiés chez Feuilles :

  • Hier est en route (2014) ;
  • Il y aura des premiers (2016) ;
  • Sur le bord d’un volcan éteint (2017).
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