Citra et Chamira : quand j’étais djihadiste

Ceci est une histoire issue d’un témoignage réel, celui d’une jeune fille en quête d’identité qui bascule dans la radicalisation violente.

Mariée via Internet avec un djihadiste, elle rejoint la Syrie.

Très vite, elle se heurte à la réalité de la guerre, partage la vie des femmes de djihadistes et en comprend l’horreur.

Son quotidien à Raqqah est mis en scène avec réalisme et force par JB Meybeck et Séraphin Alava, (professeur en Sciences de l’Éducation à l’Université Toulouse 2 Jean Jaurès et spécialiste de la radicalisation).

Un roman graphique qui propose au lecteur une véritable introspection d’une jeune fille embrigadée par Daesh.

éditions La Boîte à Pandore

Jean-Benoît Meybeck

site de l’auteur

Jean-Benoît Meybeck est né à Grenoble, en 1973, en même temps que le festival d’Angoulême et le premier grand choc pétrolier.
Graphiste indépendant à Tournefeuille (à côté de Toulouse) il s’est rappelé à presque quarante ans que ce qu’il voulait faire dans la vie, c’est de la bande dessinée.
En 2012 il est sélectionné parmi les Jeunes Talents du festival d’Angoulême, et passe en 2013 un master en bande dessinée à l’université de Poitiers.
En 2014, il commence à enseigner la bande dessinée et le story-board en école d’arts appliqués, puis publie son premier livre : CRA aux éditions Des ronds dans l’O.
Parallèlement, il milite pour le droit des migrants, et crée en 2008 le collectif Tournefeuille Sans Papiers.
C’est dans le cadre des activités de ce collectif que se déroule l’action de CRA – Centre de Rétention Administrative.
En 2016 sort aux éditions Des ronds dans l’O son deuxième album, toujours sur le sujet des migrants ; cette fois-ci à l’adresse des plus jeunes : Koko au pays des Toutous.
Tombé dès 2015 dans l’occultisme éthylique, il publie en février 2018 Lucifer, le premier tome de CosmoBacchus, une enquête critique sur le vin en biodynamie et les racines spiritualiste qui sous-tendent cette pratique agricole.

 

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