Frédérique Martin habite près de Toulouse. Elle publie en revues et recueils collectifs depuis 1998, remporte plusieurs prix dont le Prix de la Ville de Palaiseau en 2001 et le Prix Prométhée de la nouvelle en 2004 pour son recueil L’écharde du silence parue aux éditions du Rocher.
Membre de la SGDL, élue au bureau du CRL Midi Pyrénées dans le collège des auteurs, Frédérique Martin donne régulièrement des lectures à voix haute de ses textes et des ateliers d’écriture auprès de tous publics. Elle est Présidente du jury du Concours de la nouvelle du Crous de Toulouse. Elle est également membre des jurys de l’Encrier Renversé et du Prix du Jeune Ecrivain ainsi que du comité de lecture du Prix des cinq continents.
Depuis 2008 sur son site, elle tient une chronique régulière intitulée « Mon carnet », et collabore occasionnellement à d’autres blogs comme celui de l’éditeur Pleine Page, ou enviedecrire.com.
« Le vase où meurt cette verveine », éditions Belfond (Roman)
Parce que leurs enfants ne peuvent les héberger ensemble lorsque Zika doit aller se faire soigner le cœur, Joseph et elle se retrouvent séparés après plus de cinquante-six années de vie commune.
Lui est accueilli chez leur fils Gauthier à Montfort, elle chez leur fille Isabelle à Paris.
Commence alors entre eux une relation épistolaire qui voit s’éloigner la perspective de leurs retrouvailles et se déliter leur univers.
En se rebellant contre cette séparation forcée, Zika et Joseph découvrent la face cachée de leurs enfants et leurs propres zones d’ombre.
Jusqu’au drame final, où ils devront affronter le désastre humain qu’ils ont engendré.