Au XVIIe siècle, le sculpteur italien Stefano Sormano découvre un marbre rouge parcouru de flammèches blanches dans un petit village du Languedoc.
Un roman choral où évoluent des marbriers et des religieux ainsi que Marie, une jeune paysanne surnommée la Colobra, et son enfant sourd-muet.
Michèle Teysseyre
« Quand je serai grande, je serai détective. »
Ce que j’affirmais à dix ans, pour finir, je ne l’aurai jamais trahi.
Entre Toulouse et Venise, Rome, Londres, Barcelone, Istanbul, le Languedoc ou les Balkans, je n’aurai cessé de décrypter des paysages, des villes, des regards.
J’aurai peint, écrit, voyagé à travers l’espace et le temps ; je serai restée immobile au milieu de mes chats ; j’aurai aimé la musique autant que le silence, peindre autant qu’écrire… et fait un peu de cinéma.
L’œil, l’oreille et l’esprit aux aguets, mue par une insatiable envie de comprendre, traquant cette « ultime dissonance » dont parle Henry Miller, la clef – sans doute – du grand mystère de l’univers.
Michèle Teysseyre est née et vit à Toulouse.
Elle est peintre, cinéaste et auteur de plusieurs romans historiques.
Plusieurs fois primé, Moi Jean Pigasse, ouvrier du Canal (éditions du Cabardès 2017) a été traduit et publié en occitan par l’IEO, puis adapté en feuilleton radiophonique par le CIRDOC.
Dernières publications chez Serge Safran Éditeur : Patagonie (2020), Loin de Venise et Casino Venier (collectif 2021)
