Tranches de vie, tranches de mort


Les tableaux d’Edward Hopper sont très « inspirants ».
Il s’en dégage une atmosphère singulière d’attente et de vain espoir.
Chaque image est un morceau d’histoire, un élément du drame de la vie.
Même dans ses paysages l’humain est présent.
Exploration de ce qu’une peinture peut raconter.
Le début, la fin, l’envers de l’image mais dans ses couleurs les plus sombres, les plus émouvantes.
Femmes et hommes fragiles ou fragilisés par la vie.
Leurs actions ne sont que la résultante de leur propre drame, une réponse à la douleur.
Jusqu’à la chute finale.

Tranches de vie, tranches de mort.
Imprégnez-vous des tableaux, ils sont une partie du récit.

(éditions Sydney Laurent)

Jean Étienne

Heureusement il n’a pas vécu ce qu’il écrit.
Ou bien la police ne fait pas son travail.
En revanche il connaît bien ces blessés de la vie pour en avoir été un, dans une certaine mesure.
Son métier lui a fait côtoyer les misères et les difficultés de l’existence, l’immigration, le chômage, la précarité avec cette incapacité à résoudre ces problèmes.
Sinon à essayer de donner des armes pour s’échapper et dépasser cette existence.
Est-ce cette expérience qui lui fait voir et exploiter le plus sombre de l’âme humaine ?
Ou simplement la fertilité de son imagination ?
Nous ne saurions le dire.
Savourons, tout simplement !

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